Violence is 99 % of reality.

La haine,
c'est la violence de l'arbre
qui cache le partage de la forêt.

Depuis le 26 janvier 2014,
la violence est dans le domaine public.

Le carburant de la tendresse
est
la violence du partage.

A bas l'abondance !

Partageons la violence !

La violence gratuite ?

Non !

Le partage est toujours payant !

La violence partagée, c'est pas de la tarte :

pas de quartiers !

La (non)violence
est
un manque de vocabulaire.

L'amour prouve
que
la violence est au cœur du partage.

− Vous condamnez la violence ?
− Non. Nous condamnons votre question.

La violence est une matière première
(au même titre que l’eau, le pétrole et l’imagination).

Sa répartition doit être conçue MANIFESTEMENT.

D’où la manifestation.

« Deux personnes non-consentantes peuvent-elles avoir des relations sexuelles et en retirer un certain épanouissement ? »

Pierre Desagre

VIOLENCE / PARTAGE = BRUTALITÉ / FANATISME

La bêtise est si bien répartie. Pourquoi pas la violence ?

Qui SM la violence récolte le partage.

La violence (−) et le partage (+) : c’est jouissif !

- Votre manif, c'est une Blague Block ?
- La confusion ludique à laquelle prête le Collectif MANIFESTEMENT serait le clou de son cercueil s'il en avait un.

− La violence est une valeur d’échange.
− Deal ?
− Tape là !

La violence impartagée
est
une bombe à retardement
qui ne tardera pas à exploser.

Les impôts financent la violence de l’État.
Le travail finance la violence des patrons.
Donc la fête peut commencer.

MAJEUR : L'État est une « entreprise politique à caractère institutionnel lorsque et tant que sa direction administrative revendique avec succès, dans l'application des règlements, le monopole de la contrainte physique légitime » (Max Weber, Le Savant et le politique, 1919).

MINEUR : Le Collectif ne dit pas s’il dénonce l’insuccès de la revendication monopolistique de l’État, conteste la légitimité de ce monopole, nie le caractère exclusivement physique de cette contrainte ou se lève contre la direction administrative de l’État.

CONCLUSION : La manifestation Pour un partage de la violence va fédérer grave.

Ce n’est pas parce que les avis sur la violence sont partagés
qu’elle ne doit pas l’être :
au contraire !

« Ceux qui ont la violence en partage ne l’ont pas en horreur. »
(sentence controuvée du Bouddha)

Si tu frappes un homme par derrière,
il terminera sous anxiolytique.
Si tu lui apprends à frapper par devant,
il te fera bouffer tes médicaments.

Des coups et des couleurs.

Tu veux VRAIMENT qu'on en discute ?

Les barbares ne partagent pas.

Violence rentrée n'est pas chez soi.

Jésus est d'accord.

«La violence, c’est partager ce qu’on a tous
avec ceux qui n’en ont jamais assez. »

Jacques Lacan, Séminaire XIX.

« Violence et vie sont à peu près synonymes.  »

Jean Genet

Une violence mutuelle
vaut mieux que
deux tu l’auras tout seul.

La manifestation
POUR UN PARTAGE DE LA VIOLENCE
vise
aussi
à entretenir hygniéniquement sa pulsion de mort.

Shared violence ?

Fair violence !

Les hommes se partagent en deux :

ceux qui partagent la violence
et
les crapules qui la gardent pour eux.

La violence,
c’est comme un baiser :
on n’en profite qu’en la partageant.

La violence, oui !

MAIS SANS EXCLUSIVE.

            « L'amour s'en va
       Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente. »

Guillaume Apollinaire

«  Je ! »

La violence, je partage !

À l'horizon du credo du Collectif MANIFESTEMENT, on lit :

Sous peine de se retourner contre elle-même, la violence ne doit jamais se distinguer de sa propre catharsis.